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La Mountelenco - Rosa Bordas

 
La Mountelenco - Rosa Bordas Content : La Mountelenco
Lettre de Rosa Bordas à Frédéric Mistral
La chanson humanitaire
La ‘Patti de la chope, prima donna du ruisseau’
Frédéric Mistral à Jean Joseph Bonaventure Laurens, felibre adoulènti
Rendez-vous avec Carvalho, directeur de l'Opéra Comique de Paris
Martineto par le doux Grivolas
Théodore Aubanel / Teodor Aubanèu
Rosa Bordas, rouge du Midi
Marie Martin par Jean Joseph Bonaventure Laurens, 1849
François Jouve - La Canaille
Auguste Escoffier, le Vatel de la restauration
Rosa Bordas et les Fêtes annuelles en l’honneur de St-Gens
E dóu dardai fendè la braso – Et des dards du soleil elle fendit la braise
Lettre de Rosa Bordas à Frédéric Mistral - Saint Eugène
Castil Blaze, Alibert, Mayol, Fernandel,...
Monteux, Ruggieri, Café-chantant, Café-concert, opérette,...
Références - Bibliothèque Inguimbertine
Almanach Provençal - Armana Prouvençau / Le Pèlerinage de Saint Gens - La Marcho de Sant Gent
Conférences, Expositions et Bibliographie sommaire
Discographie et Textes
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Monteux, Ruggieri, Café-chantant, Café-concert, opérette,...

 

En dehors du déploiement brutal de ses feux d’artifice, signés Ruggieri, célèbres dans le monde entier et aujourd’hui disparus, la ville de Monteux, pour l’instant, sommeille !

Feux d'artifice Ruggieri Monteux

Des cafés y restent encore nombreux, certains dont celui de Marie Martin qui devint salle de bal, salle de cinéma, puis hangar et magasin, ont disparu ; d’autres tels le Café Achaume sous la statue de St Gènt et le Café de la Gare, se laissent peu à peu oublier. Seules la salle de jeu du Casino et la partie haute de  l’Hôtel d’Orient  conservent leur allure fin de siècle et s’y tenaient encore en 1980 des activités traditionnelles comme le banquet du 11 Novembre des Anciens Combattants.

         La ville de Monteux sommeille… et pourtant, grâce à l’humble Rosa Bordas, montée au firmament du Second empire, la commune de la Garance, le fief des artificiers, est passée – sans rupture – de la romance au Café-chantant, au Café-concert puis à l’Opérette et à l’Opéra, car, tout compte fait, au cours des siècles, il semble que n’ait existé qu’une seule manière d’amour vrai (fin’amor ?), cet amour qui, ‘des long jours du mois de mai’ du troubadour Jaufre Rudel jusqu’au Temps des Cerises de Jean- Baptiste Clément, laisse toujours au cœur ‘comme une plaie ouverte’.

Marie Broussais

 




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